Un parcours en diapositives. Le lecteur peut s’arrêter à une image, apprécier les jeux d’ombres dans la salle, ou fermer les yeux et rêver. La liberté du moussaillon se transforme en école, en université, en école d’ingénieur et en compagnie pétrolière au nom du mythe du travail. La plus fermée de toutes les prisons est celle qu’il se construit lui-même. Il s’échappe. Il se purifie l’âme et le corps dans le liquide originel. Les démons habituels sont solubles dans l’eau de l’océan. C’est un bienfait du sel de mer. Il aime le parfum du jasmin du désert, la sensualité des vagues et des îles africaines, le regard des femmes du Sahel. Il retrouvera son lent plaisir. Il retrouvera sa liberté. Elle lui ouvre le chemin de la vision poétique.