Philippe Lauzun (1847-1920), l’un des grands historiens de l’Agenais et de la Gascogne, fit paraître cet ouvrage en 1913. C’était l’occasion de faire revivre des monuments majeurs de l’histoire de la capitale de l’Agenais, monuments qui avaient traversé les siècles et qui furent promptement détruits, pour quantité d’entre eux, dans ce XIXe siècle où les municipalités firent souvent preuve d’un aveuglement expéditif pour ne pas dire plus...
Brillante évocation de l’histoire d’Agen au fil de ses vieilles pierres à jamais perdues que l’on se prête à regretter tant l’image et l’aspect du cœur de la ville historique en eût été bonifié.