« Ecrire lâhistoire dâAnnamaria. Jâaurais dĂ» y penser plus tĂŽt. Ăa mâarrachait le cĆur mais câest tout ce que je dĂ©sirais. Mâarracher le cĆur. »Sur le point de rejoindre lâUniversitĂ© de Buenos Aires, Jacinto Ă©crit lâhistoire dâAnnamaria, sa mĂšre. Une histoire narrĂ©e au rythme du tango, parce quâelle est triste et douloureuse et, parce quâen Argentine, on ne vit que par le tango. Car le tango est une langue. Il dit la folie des corps et la cruautĂ© de lâamour. Mais il chante surtout la beautĂ© de la vie.