À la suite de ses déconvenues sur le terrain, l’État islamiste accepte de financer un mouvement terroriste dit « social » dans des pays européens, à commencer par la France, et commandité par un émir ambitieux depuis la Libye.
Les cellules se constituent peu à peu dans trois villes européennes offrant un panachage de terroristes endoctrinés dans les madrasas, recrutés via les réseaux sociaux, et de mercenaires opportunistes sans foi ni loi. Le but : s’emparer d’écolières, les martyriser puis les tuer avec un message incantatoire visant à déclencher un mouvement de panique dans les familles concernées, relayé par les médias et amplifié par les politiciens.
Une course contre la montre est engagée par les polices nationales pour identifier puis annihiler les cellules actives.