En 1940, les Gochel, céréaliers beaucerons, ont la joie d’annoncer la naissance de leur troisième enfant : Gérard.
Le roman narre ce qu’a été l’enfance de Gérard, son environnement, ses expériences heureuses, enjouées ou douloureuses, ses rébellions générées par une sensibilité exacerbée.
Il reçoit de ses chers parents une éducation morale fondée sur le travail, la volonté, l’honnêteté.
Se dégage de lui de la curiosité, une grande ambition. Il intègre en lui cette notion que Lucie, sa mère, lui a inculquée : « Vouloir c’est pouvoir ».
Parfois et malgré sa timidité, son manque de confiance en lui, avec fierté et orgueil, il se bat contre les obstacles et affronts.
Dans la réalité, ce roman est le reflet de ce qu’a été la propre enfance de l’auteur.