Fantôme, tu l’as toujours été, depuis le jour où tu es entrée dans ma vie par le portail du Parc à grillons, ce jour où tu m’as reconnu, jusqu’à aujourd’hui où tu m’aides à entrer un peu plus dans mon personnage. Ton souffle effleure mon visage par moments et une douce chaleur recouvre mon cou , il arrive parfois à mon ventre de frémir de désir sous des caresses que je t’attribue. Je te fais souvent l’amour le vendredi, et j’arpente pour toi les abords de notre Parc à la recherche du Kyriel que j’étais avant de devenir nous.