Extrait : " Ă ta santĂ©, mon pauvre Boisjoli ! â Ă la tienne, mon brave Pinson ! Les deux convives, assis dans la salle Ă manger d'un appartement de la rue Nollet, burent avec lenteur; leurs verres, Ă demi vidĂ©s seulement, furent replacĂ©s sur la table. On Ă©tait en avril; une pluie fine tombait au dehors, trois bĂ»ches crĂ©pitaient et sifflaient dans la cheminĂ©e..."