Paula Ă©tait une femme d'une quarantaine d'annĂ©es dont les enfants Ă©tudiaient dans des villes Ă©trangĂšres et qui rentrait chez elle chaque mois pour une courte pĂ©riode. Elle disposait enfin du temps qui lui manquait tant auparavant. Son mari avait un travail bien rĂ©munĂ©rĂ©, de sorte qu'elle ne manquait de rien, et elle pouvait ĂȘtre active dans le jardin et pendant quelques semaines dans la salle de sport.
Elle n'avait pas fait attention au tableau des calories rĂ©cemment, et le rĂ©sultat lui a Ă©tĂ© impitoyablement montrĂ© sur la balance. Pour son mari, ces kilos Ă©taient parfaitement corrects, car par rapport aux autres femmes, elle avait une taille de guĂȘpe, et les kilos en trop n'Ă©taient pas rĂ©partis sur le ventre comme d'habitude, mais modelaient les fesses et les cuisses en sa faveur.
Pour une femme de 1,70 m, ces courbes étaient trÚs efficaces et avaient un effet trÚs positif sur son apparence. Il n'est pas étonnant qu'en regardant ces courbes, encore accentuées par la taille étroite, les yeux de certains hommes restent involontairement un peu plus longtemps sur cette partie du corps, et comme par magie une certaine partie de celle-ci bouge de maniÚre incontrÎlée et s'anime. En fait, cela ne faisait que perturber la consistance des fesses et des cuisses, qu'elle aurait aimé voir plus fermes.
Elle se serrait donc dans des jambiÚres serrées trois fois par semaine, afin de faire entrer les zones à problÚmes dans la substance dans le studio. Depuis quelque temps, un étranger, qui était trÚs souvent à proximité, la harcelait, et chaque fois qu'il se sentait inaperçu, il évaluait son corps et se collait à ses fesses avec de grands yeux d'infirmier. L'étranger mesurait environ 1,90 m, avait les cheveux noirs et un corps trÚs bien entraßné. Cette apparence imposante d'homme l'avait immédiatement frappée, et elle avait essayé à plusieurs reprises d'imaginer son mari avec un tel corps.