Un sexe masculin décrit ses exploits, dialogue avec son « maître » et tous les orifices qu’il investit avec délices.
« Entré dans ce premier ventre de femme, je n’aspirai qu’à y retourner. Je n’eus pas à me plaindre de ce début. La belle Mariette, satisfaite de mon service, ne perdit aucune occasion de me témoigner tout son contentement. Dès que le plus petit isolement se produisait autour de nous, elle fourrait la main dans la culotte de Julien, me prenait dans ses doigts, me sortait hors de ma cachette, et me caressait, en disant :
— Comment va mon gentil mignon ? Sera-t-il bien dur cette nuit ? Il ne se fatiguera pas de sa Mariette ! Veux-il que je l’embrasse bien tendrement ? »
Alphonse Momas au sommet de son art licencieux. Parmi tous les artifices des confessions amoureuses, voici celles d’un « colosse », d’un pilier de dix-huit centimètres. La licence du siècle dernier dans toute son élégante gouaille.