L’héroïne succombe à la lubricité de ses chiens jusqu’à la folie...
« N’en déplaise aux gens bornés, aux faux sages ou aux entichés d’une morale restrictive et surannée entre cette femme et ses animaux, dans la monstruosité du contact charnel qui les unissait, un courant passionnel se formait par lequel l’intelligence canine s’élevait à la compréhension de l’œuvre érotique voulue par la femelle et où celle-ci, s’abaissant au niveau des chiens, devinait les points sensibles de leur nervosité, et dans les jeux où elle les entraînait, s’assimilait on ne peut mieux l’allure d’une chienne en chaleur pour les attirer. »
Amateurs de beaux textes classiques, tout chauds sortis du rayon Enfer, ce texte que vous lirez constitue un summum absolu, d’une charge de folie érotique rarement atteinte. (avant-propos de Franq Dilo)