Cinq années s'étaient écoulées depuis que Ngoy, lors de cette belle nuit étoilée, sortit de la case du féticheur, le visage mouillé de larmes, le coeur innondé de joie. Cinq années pendant lesquelles sa maison ne manquait plus de rien. Cinq années aussi durant lesquelles Kabu respirait toujours l'odeur de la mort...