« Le mythe du cœur mangé perd alors sa barbarie, le rite atroce de vengeance dû à l'ilotisme des maris s'affadit, devient flou manque son but et se retourne contre ses auteurs en se muant en une affirmation d'amour. Amour plus fort que tout, amour plus fort que la mort. Le mari brindezingue se venge d'un rival pour s'exiler du qu'en-dira-t-on mais les faits vont à l'encontre de son but idéal et fatal : la femme trouve le mets exquis, puis sachant ce que c'est, n'en veut plus aucun autre et ne survit pas à l'étrange repas ! »