En 2035, la virologue canadienne Julia Demers participe à une conférence internationale sur les maladies émergentes au CDC d’Atlanta aux États-Unis. Elle est accompagnée d’un collègue virologue et généticien, le docteur Garry Johnson, qui doit y donner une conférence concernant une flambée épidémique de la variole simienne ou variole du singe. Tous les éléments sont réunis pour que leur séjour se passe bien. Cependant, après un souper agréable pour célébrer les performances de Gary, ceux-ci disparaissent sans laisser de traces…
Mais le malheur ne s’arrête pas là. D’autres événements tragiques se produisent. Tous les échantillons du virus de la variole humaine sont dérobés simultanément dans les deux seuls centres de préservation autorisés par l’OMS, soit justement au CDC d’Atlanta et dans un laboratoire à haute sécurité en Russie. Un virologue et deux techniciens du CDC d’Atlanta sont retrouvés morts.
Les autorités des États-Unis et de tous les pays sont en état d’alerte maximale. Une vaccination à grande échelle s’amorce à vitesse grand V. Le virus de la variole humaine constitue une arme extrêmement puissante à l’état naturel, mais s’il advenait que le génome de ce dernier soit manipulé, cela pourrait constituer la plus grande menace que l’humanité ait jamais connue…