Quand le gendre s’acoquine à la belle mère qui cachait bien sa libido exacerbée...
Lentement, elle déboutonna son chemisier de ses doigts vernis de rouge. Elle dévoila des épaules osseuses, à l’architecture fine, puis se tourna vers moi.
— Regardez comme mes tétons sont dressés, me dit-elle en me fixant sans expressivité. Il va falloir vous occuper d’eux maintenant.
Il me fallait absolument reprendre le dessus. Cette crétine me faisait la leçon maintenant. Moi qui me prenais pour un mâle dominant, c’était le comble. J’approchai mon verre de sa poitrine, effleurai ses seins avec. Ses pointes durcirent encore. Elle laissa échapper un léger gémissement.
— Ils frottent contre le coton de mon polo depuis ce matin. Je m’étais préparée pour mon professeur de tennis. Mais ce goujat m’a posé un lapin. Ils sont sensibles, soyez attentionné, Hervé.
Camille Stuart vérifie les vieux adages selon lesquels « qu’importe le verre pourvu qu’on ait l’ivresse » et « dans un vieux pot, la bonne soupe »... Mais descriptions suggestives et talent évocateur en donnent une illustration très piquante. Un épisode savoureux au sein d’une famille « tuyaudepoêle ».
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