Cet ouvrage propose une lecture socio-historique d’une constellation de récits de voyages. Il débute par les premiers déplacements humains, les récits grecs et vikings et se termine par l’analyse de l’arrivée d’un nouveau type de mobilité : les touristes, dont le mode de fonctionnement contraste avec celui des voyageurs. L’originalité de cet ouvrage tient à ce qu’il traite ce thème à travers l’imaginaire mais aussi par une lecture spatio-temporelle.
Précédemment l’angle d’optique se focalisait toujours sur l’espace. Cet essai montre que le rapport à l’espace et au temps différencie les voyageurs des touristes.