Élise aime Jules jusqu’à la suffocation et est prête à tout sauf à le partager, jusque dans les excès d’une alcôve échangiste. Mais l’amour, le passionnel, le seul véritable, passe bien par l’assouvissement des corps. Les tourments de son âme pourtant ne sont pas apaisés et l’amour côtoie la haine jusqu’à plus soif... Jules, Yannick, Nedélia et puis Isabelle et puis Lou... L’étourdissement des corps à corps pour oublier celui du cœur est décrypté, fouillé et étalé avec une émotion colorée de violence. Celle qui étouffe, ceux qui aiment trop et trop longtemps. Paracelsia Le Saigné signe un texte éclatant ou l’érotisme cache une pudeur du sentiment amoureux poussé à l’extrême.