« C’est ainsi qu’un soir, ayant elle aussi bénéficié de la séance, je parvins à l’aborder, non sans une certaine maladresse, et à connaître enfin son nom. Elle s’appelait Michèle et à dater de là, ce fut une correspondance ininterrompue entre nous deux par le biais des filles de terminale qui venaient en cours au lycée de garçons. J’ai encore le souvenir de ses enveloppes bleu azur qui m’étaient transmises et que j’attendais avec une incroyable impatience. »