Le métropolitain serait-il hanté, voire dangereux ? Gustave Frankel, quidam en apparence désœuvré, erre en ce lieu, prend contact avec les usagers, constate des déviances, talonné de près par une brigade policière peu ordinaire et néanmoins cocasse. Chaque action détermine un hommage à divers créateurs ayant eux aussi exploré les bas-fonds de l’âme (Pierce, Magritte, Caroll, Borgès, Fellini, Jodorovsky, Pinter, Spielberg, Copens, Godard, Simak, Maigret, Lévi Strauss, Werber, Huysmans, Castaneda…) Nous parcourons ainsi, sous couvert d’enquête policière et mystique enjoyeusetée de rapports difficiles entre fonctionnaires, les dédales de la pensée humaine et le métro parisien qui, comme chacun sait, est le plus beau du monde.