Extrait : "Antonia. — Qu'as-tu, Nanna? Te semble-t-il qu'un visage comme le tien, assombri de pensées, convienne à quelqu'un qui'gouverne le monde ? Nanna. — Le monde ! Antonia. — Oui, le monde ! C'est à moi de demeurer pensive, qui, le mal français excepté, ne trouve plus même un chien qui aboie après moi, qui suis pauvre et orgueilleuse, et qui, si je disais vicieuse, ne pécherais pas contre l'Esprit- Saint."