La Dernière Aldini (1838) commence et s'achève à Venise, ville si chère au cour de George Sand Dans ce roman « romanesque » où ne manquent ni surprises ni coïncidences, Lélio, en quête de l'amour perdu nous confie ses bonheurs, ses désillusions. Musicien et patriote, il rêve de la jeune Italie, il dit surtout sa foi absolue en l'Art. Alex Lascar, agrégé de lettres classique, docteur d'État, a consacré et consacre ses recherches aux aspects les plus divers du roman du XIXe siècle, de Balzac, G. Sand et Stendhal aux ouvres « populaires » (celles notamment de Soulié, de Sue) et aux minores.