Nazzarena raconte le drame qu’a vécu la mère de l’auteure à ses quinze ans et qu’elle a découvert à sa mort. Une malédiction qui les a poursuivies, ses deux sœurs et elle, jusqu’à ce jour. Aujourd’hui en partageant cette histoire, Lidia Rainoldi souhaite rendre au fantôme ce qui lui appartient, pour délivrer les jeunes générations. Si son amour de la lecture date de l’enfance, celui de l’écriture est né, comme pour beaucoup, à l’adolescence. Depuis, Lidia écrit presque tous les jours, comme pour donner corps à ses réflexions ! Certaines sont ensuite consignées dans un grand cahier, toutes les autres sont détruites.