Un emploi de phytothĂŠrapeute auprès dâun puissant homme dâaffaires anglais, dans un lieu suffisamment exotique pour lui faire oublier ses errements sentimentaux : Diana ne pouvait rĂŞver mieux. Pourtant, Edward de Saint-Cyr nâest pas un patron comme les autres. Il la pousse dans ses retranchements, se moque sans vergogne de sa timiditĂŠ et de sa pudeur. Mais, surtout, il fait naĂŽtre en elle des sensations dâune puissance inouĂŻe. Pour la première fois, Diana ressent du dĂŠsir, une chaleur brĂťlante qui lâenvahit dès quâelle doit effleurer le corps dâathlète dâEdward⌠mais aussi de la frustration. Car ce corps qui lâattire tant est celui de son client, et il lui est strictement interdit.