Un mystérieux crash de voiture qui laisse une héritière invalide, un regrettable accident de navigation... Des accidents qui n'en ont peut-être que l'apparence !
Biarritz, Cannes, Enghien, le groupe Breuil détient un empire de casinos, d’hôtels et de golfs. En août 2013, la voiture de Nathalie Breuil, l’héritière du groupe, s’écrase contre un pont près de Cannes. L’accident la laisse invalide. En juillet 2015, l’adjoint au maire de Biarritz en charge de la concession du casino est retrouvé mort sur la plage. Un regrettable accident de navigation, affirme-t-on.
Manque de chance pour ceux qui voudraient classer l’affaire, l’adjoint au maire a un frère commissaire, un ancien de la Crim’, qui ne s’en laisse conter par personne, ni par la famille, ni par le milieu, ni par les collègues… Il enquête en s’appuyant sur des homologues locaux de bonne volonté et sur le service national des jeux. Il découvre les coulisses des casinos et des cercles.
Son entêtement à faire toute la lumière sur ces crimes le conduira à dévoiler les intrigues au sein de la famille Breuil, les calculs des actionnaires du groupe et les combines des édiles locaux. Plus que tout, il veut la peau de celui qui a réduit la vie de son frère à un simple paramètre financier…
Dans le deuxième volet de cette saga policière, retrouvez le commissaire Chiarini, un ancien de la Crim', au coeur d'une enquête qui le mènera dans les coulisses des casinos et des cercles.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Cinéaste, conseiller ministériel et diplomate, Philippe Valéri a séjourné dans plusieurs pays d’Europe et d’Amérique. Il partage désormais son temps entre la France et la Colombie.
Auteur d’essais (Père en solo ; Le livre des attentions, Éd. A.Carrière), de documentaires sur Paris (Objets trouvés ; Paris à l’œil, Cinémathèque de Paris), il a aussi écrit des romans noirs (La mécanique des aveux, Éd. Noir Belize ; Les derniers jours de l’amour, Éd. L’Harmattan). Avec Casino Carnage, il signe le deuxième volume des enquêtes citadines et affectives du commissaire Chiarini, un ancien de la Crim’…