Les lois dites mémorielles et l’émergence de projets de collecte d’histoires orales dans les quartiers fragilisés posent la question actuelle du devoir de mémoire ou plus précisément du lien entre mémoire et histoire. Mais, quelles sont les réalités lorsque la mémoire se travaille sur un territoire ? Comment peut-on considérer ce travail dans une perspective éducative ou plus précisément, dans une démarche d’éducation populaire ? Pour tenter d’y répondre, cet ouvrage reprend la journée d’étude organisée le 9 juin 2006 à Paris8 – St Denis où il a été discuté notamment des questions de plaques commémoratives, d’écomusée et d’histoires de vie collectives.