Après six longues année Rolland Candiano s'est évadé de prison. Condamné injustement, Rolland ne rêve dorénavant que de vengeance.
Il deviendra bandit, fera trembler la noblesse, et défendra le peuple de la pointe de sa rapière. Coups après coups, lentement mais sûrement, il fera s'écrouler ceux qui ont contribué à la disgrâce de son père...
Suite du « Pont des Soupirs », ce roman de cape et d'épée mêle action, politique et histoire en un chef d'œuvre à la hauteur du « Comte de Monte-Cristo ». Si Michel Zévaco semble s'en inspirer, il érige un classique unique de la littérature.
Michel Zévaco (1860-1918) est un écrivain et journaliste né en Corse, connu pour ses romans feuilletons de cape et d'épée. Attiré par la littérature, il devient secrétaire de rédaction dans un journal révolutionnaire dirigé par Jules Roques. Il se fait rapidement connaître comme étant anarchiste. Suite à ses propos considérés par l’État comme virulents, il est condamné à la prison plusieurs fois dans sa carrière journalistique. En 1900 il devient écrivain à part entière. Il débute avec le roman-feuilleton « Borgia ! » publié dans le journal de Jean Jaurès, puis devient feuilletoniste attitré de « Le Matin » aux côtés de « Gaston Leroux », dans lequel il publie ses romans les plus populaires dont « Le Capitan » et la série des « Pardaillan ».