Ayant vécu une période nazie, Charles Boucaud a développé des sentiments peu nobles à l’endroit des Allemands. Plus tard, côtoyant ces derniers, notamment comme employeur et amis, l’auteur, enrichi d’une certaine philosophie et d’un humour certain, a reconsidéré sa vision de la vie. Ceux qui ont pratiqué l’esclavage sont morts et leurs familles n’en sont pas responsables. Dans ce monde nouveau, le dialogue a été instauré. Cet ouvrage est une invite à exploiter cette voie plus sage et plus enrichissante afin que règne la paix sur cette Terre déjà sévèrement atteinte.