« Au sortir du confinement me vint un livre éclos, une rose pourpre. La plage au crépuscule, des rêves insaisissables, le silence à foison, le désert, l’évolution sociétale de ces dernières années, la solitude en coin, ses yeux aux vagues claires, l’Atlantique déployant ses miroirs, un conte, la folie, une nuit, l’horizon, Londres sublime, Paris dans sa démence, une vie, la sienne, un jour d’avril… Un soir de juin, au pied d’un songe d’avril, une romance sauve attendait bien trop sage, juste au bord d’un délicieux parfum ; il fallait que je vous en parlasse, après l’avoir cueillie. »