Sarah a maintenant tout pour être heureuse. Elle s’est remise de la mort accidentelle de son premier mari et de celle de sa mère. Mais elle ignore la vérité... Elle et sa fille Vanessa vivent aujourd’hui sous le toit de Michael Fischer. Il est informaticien pour la SecuriCam et travaille sur un projet de la plus haute importance. Grâce à ses idées neuves et à la technologie offerte par Galiléo (le nouveau GPS européen), le monde de demain sera beaucoup plus sûr. Totalement sous surveillance... Imaginez ! Un système capable d’intercepter les images de la caméra de recul de votre voiture ou de l’appareil photo de votre voisin... Ce que Michael a inventé fait aujourd’hui froid dans le dos.
Alexandre Lebussy est un inspecteur de police grincheux et, contre toute attente, il voit en Michael non pas un brillant ingénieur, mais un assassin de la pire espèce. Alors qu’il tente de se défendre face aux soupçons de la police, sa femme est victime d’une agression tandis que Vanessa disparaît. Bientôt, tout ce petit monde va sombrer dans le chaos et s’apercevoir que le mensonge et les faux semblants sont omniprésents. Au-delà des hypothèses judiciaires se cache un secret ô combien plus lourd à porter que le simple homicide.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Henri G. Collignon est néà Rocourt en juin 1969, il se passionne très vite pour la technologie de pointe et signera son premier roman à l’âge de 15 ans ! Ce dernier ne sera toutefois jamais publié, car il s’agissait simplement pour l’auteur de satisfaire une envie d’adolescent. Néanmoins, l’avenir allait confirmer ses premiers pas... En 2006, las de ne pas assouvir ses plus anciens désirs, il renoue avec l’écriture et démarre un projet de grande ampleur. Il planche alors sur un thriller orienté vers l’usage résolument détourné du futur GPS européen : “Galiléo”, qui à l’époque, n’était encore qu’une vague idée en gestation. Fruit d’une recherche et d’un travail acharné de quatre longues années, Retournements paraîtra finalement en Novembre 2010 pour être remanier et édité à nouveau en 2018. Henri Collignon décrit les scènes comme on regarde un film d’action. Il n’est donc pas étonnant de savoir qu’avec ce premier roman, l’auteur ait été approché par des réalisateurs de cinéma !