Entre cadran solaire et miroir aux alouettes ,nous n’y voyons que du feu. L’oreille, pourtant attentive,ne percevra pas le dernier spasme du mot sidéral ni la main rigide ne l’écrira ni la lèvre le perlera. Le lac et son reflet vont de pair. L’arbre les fixe ; le regard les éternise. Nous n’y sommes pour rien sinon, résonnance éphémère, capables seulement d’interroger le silence assourdissant du vide et de souffler sur ses cendres. Pour le reste, nous croirons encore que la nasse est un piège à eau et le souffle, un preuve de notre éternité. Que ces quelques mots soient le miroitement du vent qui passe, bus à même la soif !
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