« [...] Les heures d’été font beaucoup de victimes dans l’ensemble de la population, surtout en raison du sommeil perdu, de la fatigue ressentie au travail, de la diminution des capacités physiques et de l’entraînement à la consommation de somnifères. Les victimes des accidents de la route ou du travail liées à l'heure d'été sont certes moins nombreuses que celles des accidents dits domestiques, mais doivent être mises au premier rang. Elles sont presque toutes anonymes, c’est-à-dire impossibles à identifier. Elles se trouvent cachées dans les nombres relatifs aux élévations de la fréquence des accidents. Mais, pour autant, ces morts et ces blessés n’en sont pas moins réels. [...] »