Après des décennies, au cœur de la foule, Georges et Sarah se retrouvent. Eux qui, avec Pontus, Joseph et Nobodie, formaient un petit groupe d’étudiants parisiens, inscrits en écopo, soumis, comme tous les groupes, à ses forces et tensions souterraines. Insouciante, cette période de leur vie ? Non, car ils étaient de cette génération qui vécut le printemps 68, qui adhéra, plus ou moins convaincue, aux idéaux de toute une époque, pressentant qu’ils évoluaient sur le rasoir, que la tension n’irait qu’en s’accroissant... Jusqu’au point de rupture... Et si celle-ci ne s’était pas produite là où on le pense ?