Le temps est duraille pour le parti alors que s’annoncent des élections. Les mallettes de billets venant des filières africaines sont en berne. Il y a bien les généreux donateurs, ce qui représente encore pas mal de pognon, mais c’est loin de pouvoir payer les extras. C’est donc un peu la dèche chez les politiciens et il ne reste plus que la débrouille ! Les centres forts, le lieu de collecte des fourgons blindés, sont tentants lorsque l’on a un spécialiste des casses et des embrouilles sous la main. Mais il ne faut pas faire des craques au commando qui fait le hold-up, sinon ça déménage. Il montre les dents, le spécialiste, et il a la gâchette facile. Derrière les grands discours, c’est un sacré panier de crabes, le fameux parti et son comité financier, chacun veut grimper de toutes ses forces et sans scrupules sur le dos des autres. Bientôt la mort fera des risettes à des hommes politiques de premier plan.