Le 5 février 2009, un mouvement social prend naissance à la Martinique, faisant suite à celui déjà initié à la Guadeloupe en janvier de la même année. Après l’enthousiasme suscité de cette impressionnante adhésion populaire, on finit par noter de stupéfiantes antinomies dans le fonctionnement de ceux qui clament que la "Martinique est à eux".
Colette Césaire tente d'analyser, à travers cet ouvrage, ce qu'elle appelle le "paradoxe martiniquais".