" Esparbec écrit ce qui se fait de plus éveillé et conséquent en littérature porno. " Virginie DespentesLa Pharmacienne est un roman pornographique " pur et dur ", où les métaphores sont bannies, les adjectifs concrets, et les descriptions méticuleuses sans être délayées. En outre, un humour noir assez décapant ne gâte rien à l'affaire. Les tribulations de Bébé, Laura Desjardins, Beau P' et son cousin Ernest constituent un vaudeville d'un genre nouveau, lubrique et facétieux. Gageons que sa lecture en surprendra plus d'un qui avait, sur ce type de littérature, des préjugés que l'actuelle liberté d'écriture a rendu désuets.
" Après avoir lu La Pharmacienne, je n'ai plus la même vision sur la sexualité. Ce qu'écrit Esparbec est scandaleux, sale, fascinant, angoissant, comme tout ce que nous refoulons. ", Wolinski, Charlie Hebdo " L'écriture d'Esparbec s'approche des préceptes de Roland Barthes concernant la transparence. Sa philosophie se résume en une phrase : "ne jamais tricher sur le fond'. Pour la forme, en revanche, tout est permis, puisqu'il s'agit de séduire. " Camille Emmanuelle " Dans un genre totalement et injustement méprisé, Esparbec, livre après livre, fait une œuvre. " Wiaz, Le Nouvel Observateur