Le grand amour de la vie est l’objet de ces histoires et de ces poèmes. Ne pouvant soudoyer la société par cette beauté, je n’ai fait, pendant cinquante-deux ans, que d’aimer les personnes que je côtoyais lorsque je quittais les repères de ma chambre. Il se trouve que ces personnes furent pratiquement toujours des femmes. Il convient de comprendre que je ne voulais que les séduire malgré la monstruosité de ma chair et de mon esprit. Je pense à celles qui ont dû m’accepter. Si cela n’a pas été le cas, l’objet de ces récréations littéraires est de combler ce manque !