« L’apostrophe du ciel et de la terre,
lien du ciel et d'un monde éphémère,
qui est pourtant le nôtre, notre hémisphère.
Père de nos pères, union de la vie et de la terre,
où nous sommes tous en sursis dans chacun et chacune de nos vies.
Réconfort de nos malheurs qui font notre bonheur,
Les apôtres sans apostrophe. »