En 1988, jeune femme de vingt-cinq ans, la petite-fille de Louise-Marie Manant est devenue maman. Elle voue, comme dans son enfance, une véritable admiration à sa grand-mère, cette dernière ayant avec courage, détermination et abnégation fait front à tous les coups du sort. L’hommage de Bény à Malou ira jusqu’au bout et bien au-delà...
Une fresque familiale donnant du sens aux plus intimes et aux plus infimes des choses de la vie. Entre autres, quelques cactus sortis du placard refont surface dans une mise à nue sincère et en toute pudeur. Ici confiance et pardon se font écho dans l’authenticité avec l’inavouable avoué, devenant pour Bérénice une nécessité absolue...