Ce roman d’aventures africaines est initialement publié en 1916 ; il sera traduit en français dans les années 1960 et publié en feuilleton dans le Journal de Mickey. En voici, soixante ans plus tard, une nouvelle traduction par Michel Vannereux.
Alors que Quatermain rend visite à Lord Randall, deux étrangers viennent demander Macumazana, c’est-à-dire Allan Quatermain sous le nom qu’il utilisait chez les Africains. Les deux visiteurs sont Harût et Marût, prêtres et médecins du peuple Kendah blanc, et ils sont venus réclamer l’aide d’Allan Quatermain. Le peuple des Kendahs blancs est en guerre contre le peuple des Kendahs noirs qui a pour dieu un esprit maléfique. Et cet esprit réside dans le plus grand éléphant qu’ils aient jamais vu, un éléphant qu’aucun homme ne peut tuer, à l’exception d’Allan Quatermain. Notre intrépide héros doit maintenant retourner en Afrique et détruire cet esprit maléfique avant qu’il ne détruise tous les Kendahs blancs.
Ce roman est le premier dans lequel Haggard aborde le thème d’une personne qui perd la mémoire à la suite d’un événement choquant, puis la retrouve après un autre événement similaire.
Sir Henry Rider Haggard (1856-1925) a écrit de nombreux romans au cours de sa carrière, dont les plus connus sont Les mines du roi Salomon et Elle. Allan Quatermain est le héros de quatorze romans et quatre nouvelles, dont plusieurs restaient inédits en français... jusqu’à présent.
En suivant des œuvres d’Edgar Rice Burroughs, il était tentant de poursuivre avec la publication de celles d’un autre grand auteur de littérature d’aventures... Voilà qui est lancé !