Frédéric est un puceau ; son cousin lui parle d'une jeune veuve qui s'ennuie dans son pavillon de banlieue ; Hongroise, Jouja est très accueillante avec les jeunes gens, surtout s'ils sont timides. Elle donne la tétée devant eux, elle les introduit dans son intimité. Avec une telle initiatrice notre naïf ne tarde pas à devenir un pervers accompli. Une autre veuve, libraire de son état, matrone insatisfaite, achèvera de le " former ". Notre Frédéric se vautre dans les délices de la chair mûre. Mais quoi, il est jeune, et tous ses copains s'envoient des jeunettes qui n'ont pas l'air d'avoir froid aux fesses ! Le voici donc sur la route, où une jeune Hollandaise lui permet d'établir certaines comparaisons entre la chair mûre et la chair fraîche. Les deux ont leurs charmes, en définitive. En arrivant à Arles, au Poisson Banane, Frédéric achèvera son éducation... Quelques années plus tard, sous le pseudo de Carlo Vivari, il écrira des romans cochons ! Voilà ce que c'est que d'avoir rencontré quelques veuves en retard d'affection ! On finit dans la peau d'un pornographe...