« L’aromathérapie amène à prendre en considération le patient/résident en tant qu’unique. Si elle n’est pas comparable à un médicament, c’est que ce dernier n’est pas vibratoire et rend le patient consommateur passif.
L’aromathérapie agit sur le problème avant qu’il ne se pose et participe de l’éducation thérapeutique du patient, en le rendant “consomm’acteur”.
Mais elle permet surtout au soignant d’intégrer une relation personnalisée par les sens : de travailler la mémoire sensorielle, de stimuler le goût, de générer du plaisir à vivre par le toucher empathique, producteur d’endorphines (morphine endogène produite par l’organisme). »