« Samir était dans le coma, et cela a duré... [...] Entourée de deux infirmières dont la surveillante, je n’étais pas seule à veiller mon fils, que l’on aidait à respirer même s’il n’y avait plus d’espoir. Il avait un cœur de dix ans et il ne voulait pas partir. Je suis restée auprès de lui, dans le silence de la chambre, à regarder mon fils qui lui ne me voyait pas et ne m’entendait plus. Il allait partir sans m’avoir dit au revoir. »