Le début du tome 3 (et dernier) : « Après mon retour à Genève, les jours et les semaines s'écoulèrent sans que je pusse trouver, le courage de recommencer mon ouvrage. Si je ne remplissais pas ma promesse envers le démon j'avais tout à craindre de sa vengeance ; cependant je ne pouvais surmonter l'horreur que m'inspirait l'affreux travail dont j'étais chargé. Je comptais avoir besoin pour former une femme, de plusieurs mois d'une étude profonde et de recherches pénibles. J'avais entendu parler de quelques découvertes faites par un philosophe anglais, et dont il était nécessaire que j'eusse connaissance. »
Traduction : Jules Saladin (1821)
Source: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k114322w/f3