Dans un futur plus ou moins lointain, après une de ces guerres spatiales absurdes qui a vu la Terre triompher de Mars où vivaient des Terriens sécessionistes, les hommes partent explorer d’autres galaxies.
Marko débarque sur Esmeralda. Une planète-jungle hostile, peuplée d’êtres monstrueux, mi-animaux mi-végétaux. Les colons y survivent à peine et se débattent dans une utopie pathétique ; ils savent qu’ils ne partiront pas de la planète et ajoutent à la violence endémique des lieux l’injustice propre à l’espèce humaine.
Esmeralda est le premier volume des Voyages sans retour, une quadrilogie à l’écriture fluide, elliptique et captivante, donnant à lire une vision de la perdition de l’humanité dans le cosmos suite à ses anéantissements successifs.