Le début de la septième partie : «Pendant la nuit, l’aspect de l’île habitée par la famille Martial était sinistre ; mais à la brillante clarté du soleil rien de plus riant que ce séjour maudit.
Bordée de saules et de peupliers, presque entièrement couverte d’une herbe épaisse, où serpentaient quelques allées de sable jaune, l’île renfermait un petit jardin potager et un assez grand nombre d’arbres à fruits. Au milieu de ce verger on voyait la baraque à toit de chaume dans laquelle Martial voulait se retirer avec François et Amandine. De ce côté, l’île se terminait à sa pointe par une sorte d’estacade formée de gros pieux destinés à contenir l’éboulement des terres. »
Source: https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Myst%C3%A8res_de_Paris/Partie_VII