Dans Anges de minuit, l’auteur acclamé Lorenzo Carcaterra nous revient avec un nouveau roman à suspense palpitant, dévoilant un univers fascinant où l’art et le crime se donnent rendez-vous dans l’ombre, où les rumeurs tournant autour de chefs-d’oeuvre découverts après avoir été perdus à la postérité et cachés à travers l’Europe et où certains feront n’importe quoi pour posséder ces trésors inestimables. Kate Westcott est venue dans la belle ville de Florence pour étudier le magistral Michel-Ange, dont les oeuvres ont suscité de l’admiration, de la vénération et même du désir depuis des siècles. Évidemment, elle en connaît déjà plus sur lui que la plupart des historiens de l’art grâce à son tuteur et guide, le professeur Richard Dylan Edwards.
Un des principaux spécialistes de Michel-Ange – et un membre de la mystérieuse Société Vittoria –, Edwards a consacré sa vie à retracer les oeuvres d’art perdues ou volées et à les rendre à leurs propriétaires légitimes. Explorant les rues pavées de la ville de la Renaissance avec son camarade de classe en art Marco Scudarti, Kate sent l’appel du destin. Et lorsqu’ils exposent une salle secrète dans un corridor scellé depuis l’époque des Médicis, ils font une découverte stupéfiante: les Anges de minuit de Michel-Ange, trois exquises petites sculptures dont on soupçonnait depuis longtemps l’existence sans jamais les avoir vues. C’est la découverte d’une vie – et le début de leur cauchemar. Pourchassée par les agents des criminels les plus odieux, considérée comme suspecte par l’escouade d’élite pour le recouvrement d’oeuvres d’art de Rome, Kate doit faire preuve de ruse pour échapper à la capture en se frayant un chemin dans le réseau secret de la Société Vittoria. Depuis les couloirs de l’Uffizi jusqu’à la Piazza Santa Crocce, sur le Ponte Vecchio et à l’ombre de la Duomo, Kate et Marco courent non seulement pour préserver et protéger l’oeuvre de Michel-Ange, mais aussi pour leur vie.