Extrait : "JULIETTE, entrant par le pan coupé de gauche, parlant à la cantonade... un bougeoir à la main : ... C'est entendu à onze heures précises, le déjeuner... Allons, bonne nuit, ma petite tante chérie... bonne nuit... vous direz à la femme de chambre qu'on ne m'apporte pas mon chocolat... bonne nuit. ( Elle envoie un baiser, puis entrant, va poser son bougeoir sur le guéridon, puis revient fermer sa porte à double tour. ) Là, très-bien... ( Poussant les verrous. )"