Les carnets de l’underground, ce sont les notes de terrain d’un club kid de Montréal, doctorant en études médiévales, qui court du Mile End à Berlin, en passant par Manhattan, pour ne rien manquer du lifestyle sexe, drogues et musique techno. Écrits dans une langue orale, désinhibée, rythmée par une pratique de l’écriture héritée d’Instagram, les carnets sont accompagnés des illustrations affriolantes de Jacob Pyne, qui répondent parfaitement à la mélancolie parfois autodestructrice du narrateur.