« Le soir mĂȘme de notre arrivĂ©e Ă Naples, nous courĂ»mes sur le port, Jadin et moi, pour nous informer si par hasard quelque bĂątiment, soit Ă vapeur, soit Ă voiles, ne partait pas le lendemain pour la Sicile. Comme il nâest pas dans les habitudes ordinaires des voyageurs dâaller Ă Naples pour y rester quelques heures seulement, disons un mot des circonstances qui nous forçaient de hĂąter notre dĂ©part...»